C’est quoi, le retargeting?

Advertising fight club gif En 20 lignes

Jargon du marketing, la suite. Le reciblage publicitaire ou retargeting (ou encore remarketing) est une technique marketing dont l’objectif est d’inciter un internaute qui a manifesté un intérêt pour un premier message publicitaire à accomplir une action donnée (par exemple s’inscrire sur un site s’il l’a visité une première fois sans s’inscrire; acheter s’il n’avait pas acheté ou acheter des produits similaires s’il en avait acheté un premier, etc.).

Dans la continuité du ciblage publicitaire (ou targeting: définition de la cible et consécutivement des messages à lui adresser pour atteindre l’objectif de vendre), le retargeting consiste ainsi à:

  1. collecter des informations sur le parcours en ligne d’une personne, cible d’un message publicitaire (mots-clés qu’elle a tapés, autres sites qu’elle a visités…)
  2. les exploiter en temps réel via différents cookies et un algorithme de recommandation
  3. relancer cette personne en lui adressant un ou plusieurs autre(s) message(s) plus ou moins personnalisé (d’où le « re », « encore plus ciblé ») selon la qualité des informations collectées:
    1. bannières personnalisées (encarts publicitaires ou display diffusés sur des sites où l’internaute est susceptible de se rendre avant ou après sa visite),
    2. retargeting dynamique, diffusant des annonces relatives à des produits déjà consultés afin de pousser à effectuer l’achat, notamment grâce à Google Adwords
    3. retargeting social, très utilisé par exemple sur Facebook, partant du comportement d’une cible sur les réseaux sociaux pour s’étendre ensuite à d’autres sites web qu’elle visite, ou inversement partant de votre site, que votre cible a visité, pour apparaitre sur les réseaux sociaux qu’elle fréquente, parmi les publications de son fil d’actualité
    4. email retargeting, posant un cookie dès le remplissage d’un formulaire en ligne pour adapter au mieux les messages des emails envoyés ultérieurement en fonction du profil.

Pour réussir votre campagne de retargeting, consultez notamment ce dossier du JDN

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Comment attirer des clients avec Pinterest?

Gif attirer clients Pinterest En 20 lignes

L’intérêt de Pinterest pour une entreprise dont les produits ou services peuvent s’illustrer en images et photos est évident lorsqu’on sait que ce réseau est surnommé « media du discovery shopping » (« de lèche-vitrine », aidant à découvrir des produits pour s’en inspirer et pour acheter, par distinction avec les médias sociaux dits conversationnels comme Twitter ou Facebook). Pinterest est aussi un bon moyen d’améliorer le référencement de votre site web puisque chaque image est liée à sa page source en ligne.

Une fois votre compte créé sur Pinterest (explications de base ici), mettez en oeuvre ces quelques astuces: 

  1. Authentifiez votre site Internet en quelques minutes après avoir bien complété votre section « à propos » et lié vos comptes Twitter et Facebook
  2. Organisez le contenu de vos tableaux (boards) par thématiques précises (quelques idées ici): privilégiez les niches sur le général, soit un « centre d’intérêt » pertinent par tableau
  3. Epinglez les photos et images de votre site dans les tableaux pertinents que vous avez créés, en ajoutant à chaque épingle un court descriptif, votre nom ou marque, un lien renvoyant vers le site web voire le prix (idéalement, mettez en oeuvre des épingles enrichies ou « rich pins », conçues pour diffuser ces informations)
  4. Utilisez la géolocalisation désormais permise sur Pinterest pour une démarche locale, en particulier si vous disposez d’un point de vente physique
  5. Installez le bouton « Pin it » à côté des images de votre site pour inciter vos visiteurs à les épingler
  6. Organisez des jeux concours ou offrir des coupons de réduction, par exemple grâce à l’outil complémentaire OfferPop
  7. Epinglez aussi, dans les tableaux pertinents que vous avez créés, des contenus provenant d’autres sites et blogs et d’autres tableaux sur Pinterest: suivez pour être suivi!
  8. N’oubliez pas, comme toujours, de mettre en place des indicateurs en vue d’évaluer la pertinence de votre stratégie (et éventuellement en changer), en l’occurrence de vos choix de thématiques, de vos descriptifs, de vos épingles…

Enfin, pensez à utiliser Pinterest pour les raisons justifiant l’engouement qu’il suscite, à savoir une source de veille et d’inspiration pour améliorer vos propres produits et la façon dont vous les présentez!

Bonus: la présentation Tendances social media 2014 de Vanksen et le blog de Nathalie Daout sur Pinterest

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C’est quoi, l’inbound marketing?

Minions inbound marketing En 20 lignes gif

Le jargon du marketing vous surprendra toujours… ce qu’on appelle le « marketing entrant » ou inbound marketing n’échappe pas à la règle. Il s’agit tout simplement de la mise en place d’une stratégie de contenu et de visibilité visant à attirer vers vous des prospects et clients qualifiés de façon naturelle, en leur permettant de s’adresser spontanément à vous.

En d’autres termes, l’inbound marketing désigne l’association entre

  1. contenu de qualité (voir ici),
  2. optimisation de référencement (tenez compte notamment des spécificités de la rédaction web),
  3. et community management (création et animation de communauté sur les réseaux sociaux).

Séparément, en effet, aucun de ces trois aspects ne vous permettra d’obtenir des clients supplémentaires: ce n’est que combinés qu’ils permettent de « faire venir le client à soi ».

Cette stratégie vise ainsi avant tout les contenus que vous produisez et la manière dont vous les partagez et optimisez leur visibilité, grâce à un certain nombre d’astuces telles que la qualification de contenus web (définition de leurs objectifs, de leurs cibles et de leur mise à jour) et la mise en place d’une véritable animation éditoriale (voir quelques bonnes pratiques sur Twitter ici, par exemple). Comme pour toute stratégie, n’oubliez pas d’appliquer quelques indicateurs de performance afin de pouvoir évaluer vos résultats.

Certains sites proposent des guides pratiques d’inbound marketing, à l’exemple de l’agence 1min30

Mis à jour le 22 jan. 2014 – Un lien mort? Un ajout à suggérer? Commentez!         S’inscrire à la newsletter Google

Quelles CGU, quelles CGV pour un site web?

En20lignes gif what does that mean

Dès lors que vous avez un site Internet, certaines mentions légales doivent obligatoirement y figurer et vous devez le cas échéant effectuer une ou plusieurs déclarations à la CNIL.

Les conditions générales de vente (CGV) sont facultatives entre professionnels, obligatoires avec des particuliers. Elles sont dans tous les cas vivement conseillées pour éviter toute ambiguité en renseignant vos clients sur le cadre juridique de vos activités, commerciales ou non, et servir de preuve en cas de conflit. Ainsi, les CGV doivent être facilement accessibles sur votre site, acceptées par une case à cocher, susceptibles d’être conservées (pour des questions de preuve ultérieure), et faire figurer toutes les informations utiles à la conclusion d’un contrat de vente avec votre client (modalités de paiement, prix, livraison, durée de l’offre, etc.).

L’appel à un professionnel du droit est également vivement recommandé, en tout état de cause la personnalisation la plus approfondie au regard de votre activité,  plutôt que la copie de modèles (qui peut être sanctionnée pour parasitisme économique). Les CGV sont un document juridique, susceptible par exemple de comporter des clauses abusives, non une simple documentation commerciale pour laquelle vous disposez de bien plus de souplesse.

Les conditions générales d’utilisation (CGU), facultatives, concernent plus directement les problématiques de responsabilité dans le cadre de l’utilisation de votre site (cookies, liens, propriété intellectuelle…), en complément des mentions légales.   

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Comment se constituer un réseau?

Gif Suits photographic memory

Qu’il s’agisse de trouver un associé, de conclure des partenariats, de ne pas rester isolé et tenir bon au quotidien, ou plus largement de développer votre entreprise, le réseau (ou ‘réseautage », ou networking) est un véritable atout . Certains estiment même que créer son entreprise n’est qu’une histoire de réseau.

Concrètement, se constituer et animer son réseau selon vos objectifs et vos affinités reviennent à bien choisir parmi deux catégories de personnes qui en feront partie:

Une règle d’or: les contacts constituant votre réseau professionnel ou personnel ne peuvent vous être favorables que si vos relations reposent sur un jeu d’échanges. En d’autres termes, la qualité et la diversité des contacts doit primer sur la quantité (de cartes de visites…) et toute relation doit être équilibrée – donnez avant de recevoir et ne demandez rien si vous allez oublier d’aider à votre tour, fût-ce ultérieurement. Au pire, sachez au moins remercier :)

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Comment bien utiliser Twitter?

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Twitter fonctionne sur le principe de messages limités à 140 caractères (micro) et sur l’annonce et l’interactivité en temps réel (blogging: avis, réactions, etc.). Pour ces raisons, c’est un outil gratuit de relations publiques (presse et clients) très efficace sous réserve de respecter quelques conseils:

  1. Trouver les bons mots… : ils dépendent avant tout de votre stratégie (un exemple ici), dont vous pourrez mesurer l’efficacité grâce à la mise en place d’indicateurs (voir ici).
  2. … et choisir les bons hashtags en vous aidant  d’outils comme Hashtags.org ou Hashtagify.me ils permettent de gagner en visibilité comme le résume bien cette infographie. A noter: pour un évènement, le hashtag doit être court, facile à retenir et clair
  3. Anticiper pour gagner du temps: par exemple, Buffer vous permet de programmer gratuitement à l’avance et aux horaires optimales vos posts sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter.
  4. Réagir, rapidement et en cohérence avec votre image de marque: service de microblogging, Twitter n’est pas un moins un réseau social
  5. Veiller: rechercher et suivez les comptes Twitter et hashtags correspondant aux thématiques qui vous concernent (l’influence, dont la mesure est notamment proposée par Klout, est une donnée vraiment toute relative) et afin de ne pas être noyé sous les informations sur votre liste de lecture (timeline), personnalisez-la sur Twitter et/ou utilisez des outils gratuits complémentaires: par exemple,
    1. Tweetbits propose un tableau de bord personnalisé de vos favoris, mentions ou retweets,
    2. Tweetbot vous permet notamment d’exclure les tweets mentionnant certains mots clés ou hashtags que vous aurez défini à l’avance,
    3. Qureet analyse les 24 dernières heures de votre timeline et vous en envoie un résumé quotidien par mail,
    4. ou encore TweetsPie vous propose une sorte de best of des derniers 600 tweets les plus retweetés.

(30 lignes exceptionnellement: je tenais à mentionner ces nombreux outils gratuits)     Un lien mort? Un ajout à suggérer? Commentez!         S’inscrire à la newsletter Google

Pourquoi créer un site web pour son entreprise?

Internet substitute for real human interaction En 20 lignes

Pour beaucoup, l’importance d’un site Internet pour une entreprise ne fait plus aucun doute. Il reste que si vous cherchez encore à être convaincu, quelques bonnes raisons méritent toujours d’être rappelées. Avoir un site Internet, quelque soit le type de site, vous permet en effet une fois ses objectifs définis:

  1. D’informer, et donc de rassurer vos prospects, vos clients, vos partenaires et vos fournisseurs. Le premier rôle d’un site internet est en effet d’être la vitrine de votre entreprise, visible et accessible 24/24h et 7/7j.  Cette présence en ligne vous permet de décrire précisément vos produits et services et vous assure une crédibilité accrue. Même s’il s’agit d’un simple site « carte de visite » ou « vitrine », vous bénéficiez d’un moyen simple de présenter vos compétences, vos coordonnées et toute information essentielle relative à votre activité.
  2. De communiquer à moindre coût grâce à un support multimédia (photos, textes, vidéos…), interactif et facile à mettre à jour. En effet, même un simple blog vous permet
    1. D’attirer et convaincre plus de clients grâce à un travail sur votre référencement et sur la qualité de vos contenus: aucun autre support de communication ne vous permet autant de diversifier la promotion de votre image de marque, ni de toucher un si large public, ni enfin d’anticiper les réponses à leurs questions les plus fréquemment posées (FAQ)
    2. De fidéliser vos prospects et votre clientèle grâce à un blog régulièrement alimenté (qui incitera ses visiteurs à revenir le consulter) et le cas échéant une newsletter (les adresses emails collectées seront autant de moyens d’atteindre vos prospects): vous pourrez ainsi vous rapprocher de vos clients, mieux les connaître et être plus réactif à leurs demandes
  3. Le cas échéant, que votre clientèle soit constituée de particuliers ou de professionnels, de vendre à distance si vous choisissez de créer une boutique en ligne (consultez ici les chiffres clés 2013 de la FEVAD)

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Quels indicateurs utiliser pour évaluer l’efficacité d’une stratégie marketing?

Minions indicateurs de performance marketing En 20 lignes

L’évaluation de la pertinence d’une stratégie est essentielle en vue de déterminer si elle est bonne ou non, et le cas échéant en changer. L’utilisation d’indicateurs de performance (KPI – Key Performance Indicators) pertinents vous permettra de déterminer si vous atteignez vos objectifs, notamment en marketing. Or aucun indicateur ne sera exploitable sans l’étape primordiale consistant à recenser vos objectifs, qui doivent être SMART:

  • Spécifique: un objectif complexe doit impérativement être subdivisé en objectifs simples, clairs, compréhensibles par tous (« augmenter les ventes » n’est pas un objectif spécifique, tandis qu' »augmenter les ventes de tel produit/service via tel canal de tant de % » en est un), auxquels des actions à mener seront associées;
  • Mesurable: les chiffres, quels qu’ils soient, ont le mérite de pouvoir être comparés facilement d’une période à l’autre, par exemple l’évolution du nombre de produits/services vendus dans une gamme donnée, par canal, le coût d’acquisition, le retour sur investissement de campagnes online, le trafic d’un site… L’objectif peut ainsi être quantitatif, mais aussi qualitatif, tant qu’il existe un critère de mesure, ou indicateur-clé (vous trouverez ici 10 exemples de KPIs efficaces en marketing (en anglais), d’autres ici (en français)). Attention: le nombre d’indicateurs importe moins que leur pertinence;
  • Acceptable / atteignable / approprié / attirant: la personne chargée de remplir l’objectif doit être motivée pour le faire (même s’il s’agit de vous). Faites-en un challenge ou un défi;
  • Réaliste: un défi, pour ne pas être décourageant, doit demeurer réaliste – à vous de fixer ce seuil;
  • Temporellement défini: « dès que possible »/ »ASAP » ou « avant les autres » ne sont pas des limites temporelles. Fixez-vous un calendrier, même approximatif, ne serait-ce que pour savoir quand évaluer si chaque objectif a été ou non atteint (et déterminer ce qui doit être poursuivi ou ajusté).

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Comment suivre ma stratégie… et savoir en changer?

I except nothing and I'm still let down En 20 lignes Malcom in the middle

Avec ou sans business plan, un minimum de stratégie est nécessaire quand on crée son entreprise, avant tout pour savoir se positionner, se distinguer de ses concurrents, et surtout identifier ses clients, communiquer auprès d’eux et vendre.

Sans objectif « SMART » (NB: spécifiques, mesurables,atteignables, réalistes et cadrés dans le temps), aucune stratégie n’a de sens: comment évaluer son efficacité, et le cas échéant déterminer si un changement de stratégie est nécessaire, si aucun moyen n’est mis en oeuvre pour évaluer et vérifier les hypothèses que vous avez émises? Ce moyen, ce sont les données chiffrées (et pas seulement votre comptabilité), qui seules permettent une comparaison d’un mois à l’autre, par exemple. C’est un point d’ancrage pour suivre une stratégie donnée.

Une fois que vous vous êtes donc fixé un certain nombre d’objectifs pour développer votre entreprise, mettez en place un ou plusieurs tableaux de bord (ou de reporting), même très simples. Récapitulez ces objectifs et évaluez régulièrement à quel point ils ont été ou non remplis.

Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, changez-le. Il n’y a pas non plus de bonne stratégie sans plan b: une grande part de votre responsabilité d’entrepreneur est d’ailleurs de savoir faire la part des choses entre persévérance et entêtement et réagir en conséquence, à l’échelle de chaque aspect de votre activité comme de l’entreprise dans son ensemble.

A l’extrême, pour une start-up, une remise en question profonde peut s’imposer, ce qu’on appelle un « pivot stratégique ». Il s’agit alors, face à un produit ou service qui ne trouve décidément pas son marché, de le faire évoluer en vue de correspondre à une demande réelle (voir quelques exemples de pivots réussis ici). Outre de ne le faire ni trop tôt (pour laisser le temps à l’idée initiale de faire ses preuves), ni trop tard, la seule clé demeure (encore et toujours) de savoir écouter!

Mis à jour le 7 janv. 2014 – Un lien mort? Un ajout à suggérer? Commentez!    S’inscrire à la newsletter  Google

C’est quoi, le growth hacking?

Peter Pan Growth Hacking En 20 lignes

Le growth hacking (« qui utilise des moyens non conventionnels pour générer de la croissance ») est une approche marketing cherchant à favoriser la viralité et la création d’habitudes chez un utilisateur.

Cela se traduit concrètement dans une start-up par un ensemble de tactiques non conventionnelles utilisant un minimum de ressources avec l’objectif de faire grandir rapidement la base d’utilisateurs payants. Les ressources sont essentiellement les données collectées grâce aux utilisateurs et différents tests des solutions imaginées en vue de retenir les plus pertinentes (voir par exemple la série de tests 100 growth hacks in 100 days). Dès lors que ces tactiques deviennent conventionnelles, elles perdent en efficacité et contraignent à en imaginer de nouvelles (cas d’école: Hotmail ajoutant à la fin des emails de ses utilisateurs « PS: I love you. Get your free email at Hotmail« , récupéré par de nombreux autres services emails, puis par des terminaux avec des signatures de type « Envoyé depuis mon iPhone / BlackBerry / etc. »).

C’est la raison pour laquelle on parle avant tout d’état d’esprit. Le growth hacker a pour seul et unique objectif la croissance de la base, donc le quantitatif, en s’interrogeant et en agissant sur chaque étape du processus de conversion, dans cet ordre (en optimisant le 1/ avant de travailler sur le 2/, etc.):

  1. Acquisition: faire venir des gens sur le site (SEO / SEM, partenariats, concours…)
  2. Activation: faire en sorte que les visiteurs s’inscrivent à quoi que ce soit qui puisse les amener à revenir sur le site
  3. Rétention: faire en sorte que les utilisateurs deviennent actifs
  4. Revenus: faire payer les utilisateurs actifs
  5. Référents et parrains: faire en sorte qu’ils échangent entre utilisateurs actifs et en parlent autour d’eux

Growth Hacking framework grille de travail En 20 lignes Donald's blog

Source: Startup Marketing: A Guide To Growth Hacking – Donald’s blog

Les ressources en anglais sont très nombreuses, notamment sur Slideshare, sur des tableaux Quora, sur GrowthHackers.com, dans les ebooks de Neil Patel ou Sean Ellis, mais aussi en français, notamment sur Growth Hacking.fr.

Ps: Si toutefois vous vous demandez encore si growth hacking = buzz word = bullshit, faites un tour par ici ;-)

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